Linda Lê naît le 13 juillet 1963 à Dâ Lat au Vietnam. Abreuvée de littérature dont elle ne respirait que pour cela, en grandissant alors, elle devient écrivaine. Elle prenait l’écriture pour un refuge et elle gagnait aussi grâce à ses mots ardents dans les pages de ses livres. Avec sa fureur, elle s'extériorise en citant d’autres auteurs qui l'intimidaient à proprement parler et dont elle vouait une grande admiration et en écrivant sa rage de ne pas réussir à voir le monde tel qu’il devrait être, pour elle. Elle ne se sentait pas heureuse dans son pays natal. Pour elle, le Vietnam était un cauchemar. La guerre, l’exil, il y avait tant de raisons de partir et d’écrire pour se sauver.
Elle sera élevée en Occident avec le français comme première langue. Sa mère, femme au foyer française de la même langue et son père ingénieur elle vivait surtout une vie propre à ses moyens. Mais elle ne se sentait pas comme chez elle. Jamais. Inscrite au lycée français de Saigon, en 1977, Elle découvrit Balzac et Hugo qui lui montrèrent ses premières lignes de lecture qui le fera oublier quelques instants le Vietnam tout en mangeant et dormant dans ce pays.
Linda Lê, sa mère et ses sœurs embarquent pour la France et se retrouvent au Havre. Sa mère française savait que cela allait être le meilleur pour ses filles, après la perte du travail de leur père. Elle aurait perdu de vue celui-ci. Jamais elle ne le reverra.
La bibliothèque d’Henri IV en discipline Khâgne serait son deuxième refuge après les premiers livres qu’elle découvrit au Vietnam. Rappelons-nous de Balzac et Hugo. Mais pas seulement, elle se retrouvait personnellement avec d’autres auteurs comme Ciorian et Thomas Bernhard. En lisant leurs livres on pouvait voir et comprendre dans quel optique et quel sentiment se trouvait l’écrivaine.
Son écriture d’une grande sensibilité comme cela décrivait la personne qui écrivit les lignes de « Lame de fond » (2012) et « A l’enfant que je n’aurai pas » (2011). Comme au lycée elle se dota d’un style presque poétique pour éditer tout un Magazine Littéraire, donc le titre se suivra.
Elle passait dans ses livres des lignes violentes à une douceur inéluctable et impressionnante. Restant en ordre avec les consignes d’écriture et la limite de la poésie. Linda Lê gagna plusieurs prix ses mots touchant la population, les éditeurs comme lecteurs, les autres écrivains. Son écriture était très compréhensible.
Linda Lê mourût à l’âge de 58 ans le 9 mai 2022.
Elle sera élevée en Occident avec le français comme première langue. Sa mère, femme au foyer française de la même langue et son père ingénieur elle vivait surtout une vie propre à ses moyens. Mais elle ne se sentait pas comme chez elle. Jamais. Inscrite au lycée français de Saigon, en 1977, Elle découvrit Balzac et Hugo qui lui montrèrent ses premières lignes de lecture qui le fera oublier quelques instants le Vietnam tout en mangeant et dormant dans ce pays.
Linda Lê, sa mère et ses sœurs embarquent pour la France et se retrouvent au Havre. Sa mère française savait que cela allait être le meilleur pour ses filles, après la perte du travail de leur père. Elle aurait perdu de vue celui-ci. Jamais elle ne le reverra.
La bibliothèque d’Henri IV en discipline Khâgne serait son deuxième refuge après les premiers livres qu’elle découvrit au Vietnam. Rappelons-nous de Balzac et Hugo. Mais pas seulement, elle se retrouvait personnellement avec d’autres auteurs comme Ciorian et Thomas Bernhard. En lisant leurs livres on pouvait voir et comprendre dans quel optique et quel sentiment se trouvait l’écrivaine.
Son écriture d’une grande sensibilité comme cela décrivait la personne qui écrivit les lignes de « Lame de fond » (2012) et « A l’enfant que je n’aurai pas » (2011). Comme au lycée elle se dota d’un style presque poétique pour éditer tout un Magazine Littéraire, donc le titre se suivra.
Elle passait dans ses livres des lignes violentes à une douceur inéluctable et impressionnante. Restant en ordre avec les consignes d’écriture et la limite de la poésie. Linda Lê gagna plusieurs prix ses mots touchant la population, les éditeurs comme lecteurs, les autres écrivains. Son écriture était très compréhensible.
Linda Lê mourût à l’âge de 58 ans le 9 mai 2022.