Lao She est née le 3 février 1899. De son vrai nom Shu Qingchun, Lao She est son nom de plume dans la période moderne. Écrivain et dramaturge chinois, il excelle dans l’écriture de romans, nouvelles mais aussi pièces de théâtre.
Il expliquera vivement la révolution chinoise dans ces romans. S’inspirant du milieu pékinois, qui, oui, promet Lao She qui vient de Pékin, mandchoue.
Son père qui meurt alors qu’il n’est juste qu’un enfant marquera de grande complexité chez Lao She. Il n’oubliera ni ne pardonnera jamais cette perte. Sa mère travaille alors comme blanchisseuse.
« Le mouvement du 4 mai m’a insufflé un esprit nouveau et m’a offert un nouveau langage littéraire. Je lui suis reconnaissant de m’avoir permis de devenir un écrivain. » Une citation quand Lao She n’était qu'enseignant. Mais pourtant il commence à écrire et publie en mai 1921 son premier récit; baihua.
Lao She n’est pas très connu en France mais il aura une œuvre qui sera littéralement la plus lue en France, pousse-pousse publié en 1937. Pour critiquer une société, il aurait fallu se servir de ce roman, car oui ce roman parle de la survivabilité dans le monde difficile pékinois. Il aura réussi à toucher le lecteur avec ses descriptions ignobles et pathétiques des personnages et de la société.
Plus tard, Lao She se découvrira un talent pour une écriture patriotique et se mettra à aider les autres avec son écriture. Notamment au régime communiste.
Lao She meurt de suicide par noyade deux jours après l’humiliation qu’il aura eu à 67 ans. Victime de la révolution culturelle en 1966.
Il expliquera vivement la révolution chinoise dans ces romans. S’inspirant du milieu pékinois, qui, oui, promet Lao She qui vient de Pékin, mandchoue.
Son père qui meurt alors qu’il n’est juste qu’un enfant marquera de grande complexité chez Lao She. Il n’oubliera ni ne pardonnera jamais cette perte. Sa mère travaille alors comme blanchisseuse.
« Le mouvement du 4 mai m’a insufflé un esprit nouveau et m’a offert un nouveau langage littéraire. Je lui suis reconnaissant de m’avoir permis de devenir un écrivain. » Une citation quand Lao She n’était qu'enseignant. Mais pourtant il commence à écrire et publie en mai 1921 son premier récit; baihua.
Lao She n’est pas très connu en France mais il aura une œuvre qui sera littéralement la plus lue en France, pousse-pousse publié en 1937. Pour critiquer une société, il aurait fallu se servir de ce roman, car oui ce roman parle de la survivabilité dans le monde difficile pékinois. Il aura réussi à toucher le lecteur avec ses descriptions ignobles et pathétiques des personnages et de la société.
Plus tard, Lao She se découvrira un talent pour une écriture patriotique et se mettra à aider les autres avec son écriture. Notamment au régime communiste.
Lao She meurt de suicide par noyade deux jours après l’humiliation qu’il aura eu à 67 ans. Victime de la révolution culturelle en 1966.