Jane Austen
1775-12-16 ~ 1817-07-18
Biographie redigée par Abdi Ibrahim Muna le 27 novembre 2023
Ses œuvres de jeunesse
Elle commence à écrire très tôt dans son adolescence, dès 1793. Sa première production relate une histoire d’Angleterre improbable. De plus, cette histoire s’adressait seulement à sa famille. Son aventure littéraire, dans le début, avait pour but de distraire sa famille.
Les juvenilia
Ces récits courts sont invraisemblables et sont marqués par un style de l’excès. Le roman épistolaire, amour et amitié, apparaît dans le second volume. Contrairement, aux autres histoires, il est plus long. Le lecteur est plongé dans la correspondance entre la narratrice Laura et Marianne. L’auteur britannique nous présente une satire des fictions sentimentales de ses contemporains.
Les ingrédients qui justifient son succès littéraire
Jane Austen nous laisse en héritage six fictions achevées, autrement appelées les romans de la maturité. Elle met en avant les personnages féminins, elles sont les narratrices. Ces dernières évoluent dans le cadre de l’Angleterre rurale. Il s’agit plus exactement des villages de campagne.
Jane Austen porte un regard sur la condition féminine, dans une microsociété de quelques familles qui se connaissent. Ses sujets de prédilection restent le mariage et l’argent. Les héroïnes passent par des épreuves et des désillusions sentimentales. Leur prise de décision marque un tournant dans leur destin.
Mais le dénouement demeure toujours heureux, la situation s’améliore. Les deux amants se comprennent. Leur amour se concrétise par la réunion. Elle nous dresse ainsi un tableau de son époque et de ses préoccupations. En effet, la femme doit accomplir un « beau » mariage pour se garantir un avenir radieux. Cette union lui offre une assurance financière. En ce sens, la protagoniste de Persuasion, Anne, incarne la faiblesse de caractère. Elle rompt ses fiançailles, sous le conseil d’une amie. En effet, le prétendant n’est pas fortuné. Dans ce roman, le mariage d’amour se confronte à la condition sociale.
Le point fort de ses fictions se trouve dans le choix du point de vue. Le discours indirect libre nous permet d’accéder aux pensées intérieures du personnage. Elle est une pionnière du roman psychologique.
Elle commence à écrire très tôt dans son adolescence, dès 1793. Sa première production relate une histoire d’Angleterre improbable. De plus, cette histoire s’adressait seulement à sa famille. Son aventure littéraire, dans le début, avait pour but de distraire sa famille.
Les juvenilia
Ces récits courts sont invraisemblables et sont marqués par un style de l’excès. Le roman épistolaire, amour et amitié, apparaît dans le second volume. Contrairement, aux autres histoires, il est plus long. Le lecteur est plongé dans la correspondance entre la narratrice Laura et Marianne. L’auteur britannique nous présente une satire des fictions sentimentales de ses contemporains.
Les ingrédients qui justifient son succès littéraire
Jane Austen nous laisse en héritage six fictions achevées, autrement appelées les romans de la maturité. Elle met en avant les personnages féminins, elles sont les narratrices. Ces dernières évoluent dans le cadre de l’Angleterre rurale. Il s’agit plus exactement des villages de campagne.
Jane Austen porte un regard sur la condition féminine, dans une microsociété de quelques familles qui se connaissent. Ses sujets de prédilection restent le mariage et l’argent. Les héroïnes passent par des épreuves et des désillusions sentimentales. Leur prise de décision marque un tournant dans leur destin.
Mais le dénouement demeure toujours heureux, la situation s’améliore. Les deux amants se comprennent. Leur amour se concrétise par la réunion. Elle nous dresse ainsi un tableau de son époque et de ses préoccupations. En effet, la femme doit accomplir un « beau » mariage pour se garantir un avenir radieux. Cette union lui offre une assurance financière. En ce sens, la protagoniste de Persuasion, Anne, incarne la faiblesse de caractère. Elle rompt ses fiançailles, sous le conseil d’une amie. En effet, le prétendant n’est pas fortuné. Dans ce roman, le mariage d’amour se confronte à la condition sociale.
Le point fort de ses fictions se trouve dans le choix du point de vue. Le discours indirect libre nous permet d’accéder aux pensées intérieures du personnage. Elle est une pionnière du roman psychologique.