Carl Lewis
1961-07-01
Biographie redigée par Marie-Laure le 13 décembre 2023
Frederick Carlton Lewis, plus connu sous le nom de Carl Lewis ou encore de King Carl, est né le 1er juillet 1961 en Alabama, aux Etats-Unis. Le contexte social et le cercle familial vont grandement influencer son futur et l’homme qu’il deviendra. Durant son enfance, il est témoin du mouvement des droits civiques et de ses manifestations, mais il grandit aussi entouré de parents férus d’athlétisme. Le club d’athlétisme dans lequel ses derniers travaillent sert de terrain de jeux au futur King Carl.
Au début, rien ne laisse apparaître qu’il sera l’un des plus grands athlètes au monde, mais sa rencontre avec son idole Jesse Owens lui donne le déclic. Il met au placard son complexe d’infériorité, par rapport à ses frères et sa sœur, et suit le conseil du quadruple médaillé olympique : prendre du plaisir avant tout.
Son talent se révèle alors, en commençant par le saut en longueur ; en 1979 il bat le record de l’université de Houston en atteignant les 8,13 m, à partir de ce moment-là plus rien ne l’arrêtera.
Il est sélectionné dans l’équipe nationale pour disputer les J.O de Moscou, dans le saut en longueur et le 4x100 m, car sa vitesse a été notifiée, mais il ne pourra exhiber ses facultés au monde pour cause de boycott des Jeux de la part des États-Unis.
L’étoile montante continue son ascension et de battre des records, autant en saut qu’en sprint. Il faudra attendre les Mondiaux d’athlétisme de 1983 à Helsinki pour que Carl se frotte aux meilleurs et confirme sa puissance. Et, c’est chose faite.
Dès lors, il portera le titre de King (roi en français) et ne laissera personne le dépasser, jusqu’en 1996 où il n’obtient au relais 4x100 m que la médaille d’argent. L’année suivante, le multi-médaillé, qui est parvenu à égaler son mentor Owens, décide de raccrocher les pointes et de laisser place à la nouvelle génération.
Carl Lewis a sans nul doute marqué l’histoire de l’athlétisme, il a d’ailleurs été nommé « athlète du siècle » par le comité international olympique et a même été intronisé au Panthéon de l’athlétisme de l’IAAF, rejoignant ainsi Owens et Michael Johnson.
Malgré les soupçons de dopage et son caractère peu populaire, il n’en est pas moins une légende, un sportif hors-pair et une référence dans le monde du sport.
Il est sûr que son nom restera sur les lèvres de bon nombre d’athlètes, au moins jusqu’à ce que son record de saut en longueur en salle de 8,79 m, réalisé en 1984, soit battu.
Retraite ne signifie pas inactivité puisque Carl Lewis dédie son temps à entraîner, à partager son expérience et ses valeurs, surtout nutritives (lui-même étant végétalien) aux jeunes sportifs.
Au début, rien ne laisse apparaître qu’il sera l’un des plus grands athlètes au monde, mais sa rencontre avec son idole Jesse Owens lui donne le déclic. Il met au placard son complexe d’infériorité, par rapport à ses frères et sa sœur, et suit le conseil du quadruple médaillé olympique : prendre du plaisir avant tout.
Son talent se révèle alors, en commençant par le saut en longueur ; en 1979 il bat le record de l’université de Houston en atteignant les 8,13 m, à partir de ce moment-là plus rien ne l’arrêtera.
Il est sélectionné dans l’équipe nationale pour disputer les J.O de Moscou, dans le saut en longueur et le 4x100 m, car sa vitesse a été notifiée, mais il ne pourra exhiber ses facultés au monde pour cause de boycott des Jeux de la part des États-Unis.
L’étoile montante continue son ascension et de battre des records, autant en saut qu’en sprint. Il faudra attendre les Mondiaux d’athlétisme de 1983 à Helsinki pour que Carl se frotte aux meilleurs et confirme sa puissance. Et, c’est chose faite.
Dès lors, il portera le titre de King (roi en français) et ne laissera personne le dépasser, jusqu’en 1996 où il n’obtient au relais 4x100 m que la médaille d’argent. L’année suivante, le multi-médaillé, qui est parvenu à égaler son mentor Owens, décide de raccrocher les pointes et de laisser place à la nouvelle génération.
Carl Lewis a sans nul doute marqué l’histoire de l’athlétisme, il a d’ailleurs été nommé « athlète du siècle » par le comité international olympique et a même été intronisé au Panthéon de l’athlétisme de l’IAAF, rejoignant ainsi Owens et Michael Johnson.
Malgré les soupçons de dopage et son caractère peu populaire, il n’en est pas moins une légende, un sportif hors-pair et une référence dans le monde du sport.
Il est sûr que son nom restera sur les lèvres de bon nombre d’athlètes, au moins jusqu’à ce que son record de saut en longueur en salle de 8,79 m, réalisé en 1984, soit battu.
Retraite ne signifie pas inactivité puisque Carl Lewis dédie son temps à entraîner, à partager son expérience et ses valeurs, surtout nutritives (lui-même étant végétalien) aux jeunes sportifs.