Blaise Pascal
1623-06-19 ~ 1662-08-19
Biographie redigée par Stéphane FLEURIEAU le 20 avril 2021
Né à Clairmont-en-Auvergne (devenu Clermont-Ferrand) le 19 juin 1623, il est l'enfant d?Étienne Pascal (magistrat et homme de finances) et d'Antoinette Begon (décédée 3 ans après sa naissance).
Marié, il perdu sa femme en 1626
Il n'est pas allé au collège ni en université, car c'est son papa qui fût en charge de son éducation, ce dernier lui interdit même d'apprendre les mathématiques avant ces 15 ans. Pourtant, à 12 ans, Pascal à démontré que la somme des angles d'un triangle fait 180°. Son père, stupéfait, lui autorise à lire les Éléments d'Euclide (traité mathématique et géométrique).
Enfant précoce, il devient : mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien (les premiers travaux de Pascal concernent les sciences naturelles et appliquées.)
À 14 ans, Pascal Blaise, accompagne son père aux rencontres de l'Académie du petit Marin Mersenne. À 16 ans, il y fait son premier exposé, où il démontre plusieurs théorèmes de géométrie projective, dont la fameuse propriété de l'hexagone mystique inscrit dans une conique. Un an plus tard, il publie « Essai pour les coniques ».
Il publie aussi un traité de géométrie projective (modélisation de la perspective et d'horizon) puis en
1654, Blaise développe une méthode de résolution du « problème des partis » qui, donnant naissance au cours du XVIIIe siècle au calcul des probabilités, influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales.
Il n'a que 19 ans lorsqu'il invente la machine à calculer et la dédie au chancelier Séguier. Son premier nom était « machine d'arithmétique » puis « roue pascaline » et pour finir par : la pascaline en 1642.
En 1646, son père se blesse à la cuisse et est soigné par deux médecins (les frères Deschamps), qui vont convertirent Pascal Blaise à une vie chrétienne plus fidèle.
Pascal Blaise, en conflit avec d'autres chercheurs, continu à travailler sur un plan plus scientifique, il s'intéresse à l'existence du vide (traité du vide en 1651, l'équilibre des liqueurs et la pesanteur de l'air).
Il propose plusieurs expériences pour valider l'existence du vide qui sera réalisé, par son beau-frère, au sommet du Puy de Dôme qui établit d'une façon formel le rôle joué par la pression de l'air.
Son papa décède le 24 septembre 1651 et sera beaucoup affecté. Il trouve refuge dans la vie mondaine et les sciences. Il s'intéresse alors aux nombres, a des échanges écrits avec Pierre de Fermat qui fondent la théorie des probabilités (on doit notamment à Pascal l'invention du concept d'espérance), étudie en 1654 le triangle arithmétique et invente ainsi le raisonnement par récurrence.
Après une expérience mystique qu'il éprouve en novembre 1654, il se consacre à la réflexion philosophique et religieuse, sans toutefois renoncer aux travaux scientifiques.
En 1659, il tomba malade et sera, tout de même, à l'origine de sa dernière invention en 1662 : les carrosses à cinq sols (premier transport en commun de la capital).
En 1162, Blaise Pascal et le Duc de Roannez fondèrent une société de transport en commun et mettent en fonctions des carrosses à 5 sols.
Les carrosses à 5 sols ?
Les carrosses qui font toujours les mêmes trajets dans Paris, à heures fixes, même vides, et s'arrêtent toujours aux mêmes endroits pour un prix unique de 5 sols.
Il décédera à l'âge de 39 ans le 19 août 1662 à Paris d'une très longue maladie (lésion vasculaire cérébrale d'origine génétique), qui débute à ses deux ans et s'aggrave doucement en 1641 vers ses 18 ans.
Ses écrits « Les Provinciales et les Pensées » seront publiés après son décès.
Le pape François, le 8 juillet 2017, lança la procédure de la béatification pour Blaise Pascal.
Quelques inventions :
- La Pascaline (machine à compter),
- La première presse hydraulique (basé sur le théorème de Pascal),
- La brouette et le haquet (sorte de brouette attelée à un cheval),
- Le baromètre,
- La seringue.
En l'honneur de ses contributions, son nom est donné à l'unité de pression, le triangle de Pascal (La version en trois dimensions : hauteur, largeur, profondeur est appelée la pyramide de Pascal ou le tétraèdre de Pascal, tandis que les versions générales sont appelées simplexes de Pascal.)
Marié, il perdu sa femme en 1626
Il n'est pas allé au collège ni en université, car c'est son papa qui fût en charge de son éducation, ce dernier lui interdit même d'apprendre les mathématiques avant ces 15 ans. Pourtant, à 12 ans, Pascal à démontré que la somme des angles d'un triangle fait 180°. Son père, stupéfait, lui autorise à lire les Éléments d'Euclide (traité mathématique et géométrique).
Enfant précoce, il devient : mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien (les premiers travaux de Pascal concernent les sciences naturelles et appliquées.)
À 14 ans, Pascal Blaise, accompagne son père aux rencontres de l'Académie du petit Marin Mersenne. À 16 ans, il y fait son premier exposé, où il démontre plusieurs théorèmes de géométrie projective, dont la fameuse propriété de l'hexagone mystique inscrit dans une conique. Un an plus tard, il publie « Essai pour les coniques ».
Il publie aussi un traité de géométrie projective (modélisation de la perspective et d'horizon) puis en
1654, Blaise développe une méthode de résolution du « problème des partis » qui, donnant naissance au cours du XVIIIe siècle au calcul des probabilités, influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales.
Il n'a que 19 ans lorsqu'il invente la machine à calculer et la dédie au chancelier Séguier. Son premier nom était « machine d'arithmétique » puis « roue pascaline » et pour finir par : la pascaline en 1642.
En 1646, son père se blesse à la cuisse et est soigné par deux médecins (les frères Deschamps), qui vont convertirent Pascal Blaise à une vie chrétienne plus fidèle.
Pascal Blaise, en conflit avec d'autres chercheurs, continu à travailler sur un plan plus scientifique, il s'intéresse à l'existence du vide (traité du vide en 1651, l'équilibre des liqueurs et la pesanteur de l'air).
Il propose plusieurs expériences pour valider l'existence du vide qui sera réalisé, par son beau-frère, au sommet du Puy de Dôme qui établit d'une façon formel le rôle joué par la pression de l'air.
Son papa décède le 24 septembre 1651 et sera beaucoup affecté. Il trouve refuge dans la vie mondaine et les sciences. Il s'intéresse alors aux nombres, a des échanges écrits avec Pierre de Fermat qui fondent la théorie des probabilités (on doit notamment à Pascal l'invention du concept d'espérance), étudie en 1654 le triangle arithmétique et invente ainsi le raisonnement par récurrence.
Après une expérience mystique qu'il éprouve en novembre 1654, il se consacre à la réflexion philosophique et religieuse, sans toutefois renoncer aux travaux scientifiques.
En 1659, il tomba malade et sera, tout de même, à l'origine de sa dernière invention en 1662 : les carrosses à cinq sols (premier transport en commun de la capital).
En 1162, Blaise Pascal et le Duc de Roannez fondèrent une société de transport en commun et mettent en fonctions des carrosses à 5 sols.
Les carrosses à 5 sols ?
Les carrosses qui font toujours les mêmes trajets dans Paris, à heures fixes, même vides, et s'arrêtent toujours aux mêmes endroits pour un prix unique de 5 sols.
Il décédera à l'âge de 39 ans le 19 août 1662 à Paris d'une très longue maladie (lésion vasculaire cérébrale d'origine génétique), qui débute à ses deux ans et s'aggrave doucement en 1641 vers ses 18 ans.
Ses écrits « Les Provinciales et les Pensées » seront publiés après son décès.
Le pape François, le 8 juillet 2017, lança la procédure de la béatification pour Blaise Pascal.
Quelques inventions :
- La Pascaline (machine à compter),
- La première presse hydraulique (basé sur le théorème de Pascal),
- La brouette et le haquet (sorte de brouette attelée à un cheval),
- Le baromètre,
- La seringue.
En l'honneur de ses contributions, son nom est donné à l'unité de pression, le triangle de Pascal (La version en trois dimensions : hauteur, largeur, profondeur est appelée la pyramide de Pascal ou le tétraèdre de Pascal, tandis que les versions générales sont appelées simplexes de Pascal.)